Page Principale  
 

Remarquer que l'Église de St-Pierre est au sud du ruisseau des ouïs.
Alors que l'Église de St-Thomas est au nord du Ruisseau.



Cité de Touques
Extrait du livret publicitaire sur Touques

Touques est tellement mentionné dans l'origine des Bélanger en nouvelle France, que nous ne pouvons pas passer cette occasion de parler un peu de Touques seconde métropole médiévale du Pays d'Auge dont le site était déjà occupé à la période Gallo-Romaine, port très actif ouvert au commerce international, centre économique et politique régional jusqu'au milieu du 19è siècle, tel était Touques d'hier.

Cité en forte expansion démographique qui a triplé sa population au cours des trente dernières années, au dynamisme économique retrouvé, où la vie sportive et culturelle est en pleine essor et qui s'attache à se reconstruite une image, tel est le Touques d'aujourd'hui.

Cité historique du Pays d'Auge, Touques était autrefois une ville très animée par l'activité commerciale de son port et les incessaantes escales des Ducs-Rois venus au château voisin. Il est difficile, encore aujourd'hui, de fournir des éléments précis sur les origines de la ville. Cependant, la découverte de céramiques datant du premier siècle après J.C. nous laisse supposer une occupation du site à la période Gallo-Romaine.

C'est au moyen-Age que la cité atteint son apogée. Stratégiquement, la ville et son château occupent une place de choix dans le coeur des souverains anglais et français qui, durant la guerre de Cent Ans, prennent et reprennent cinq fois la forteresse. Deuxième métropole du Pays d'Auge, Touques jouit des retombés économiques de son port qui participe activement au commerce international jusqu'à la révolution. Notons à ce propos que la ville figure sur une carte de la France dessinée par un italien, Stefano Buonsignori, en 1576, sur laquelle ne sont mentionnés qu'une vingtaine de noms. De ce port disparu au milieu du XIXè siècle, il ne reste que le souvenir. Touques, possède encore de précieux vestiges qui rappellent les heures brillantes de la cité.

Témoins de son importance, Touques était divisée jusqu'à la fin du XVIIIè siècle en trois paroisses: Saint-Thomas, Saint-Pierre et Daubeuf. Le ruisseau des ouïs qui traverse le bourg perpendiculairement délimitait les deux paroisses urbaines de Saint-Thomas et de Saint-Pierre. Ce petit cours d'eau fut souvent le spectateur privilégié de nombreuses rixes entre habitants des deux paroisses qui ne s'appréçiaient guère. Si Saint-Thomas regroupait les deux-tiers des Touquais, c'était aussi la paroisse populaire de la ville. À l'inverse, Saint-Pierre, plus petite, était composée des notables et riches commerçants de la cité. Daubeuf, quant à elle, était une petite paroisse située à trois kilomêtres du bourg. De l'ancienne église, il ne reste que le choeur, transformé en chapelle et dont les parties les plus anciennes peuvent être rapportées à la fin du XIIè siècle. (Extrait publicitaire de Touques 1999 pages 6 & 7)

Église St-Pierre, Touques
Église St-Thomas, Touques
La Rue Louvel, Touques
La rue Brière, Touques

Origine de Nicolas BELLANGER

Nicolas Bellanger dit Catherine que Mgr Tanguay a cru à tort être le fils aîné de François est origniaire de Touques en Normandie. Comme nous le verrons plus loin, il a lui aussi enfoui profondément ses racines dans la région de Beauport. Ses descendants forment aussi un faisceau qui enveloppe la terre américaine.

LE RECENSEMENT DE 1681
Périodiquement, on exécutait ainsi des recensements pour connaître la situation de la colonie en Nouvelle-France. Le plus sérieux de ces recensements eut lieu en 1681. On y découvre que la famille Nicolas Bélanger demeure toujours dans la seigneurie de Beauport . Nicolas est âgé de 49 ans (On situe donc sa naissance à 1632). Marie de Rainville a 39 ans et serait née vers 1642 . Les enfants sont : Marthe, 19 ans; Bertrand, 18 ans; Suzanne,14 ans; Marie, 12 ans; Pierre, 11 ans; Nicolas, 9 ans; Paul, 7 ans; Thérèse, 5 ans; Marie, 3 ans; Françoise, l an. Nous verrons sa famille dans une autre page.

Pendant qu'on inventoriait les enfants et les parents, on inscrivait également les biens de la famille. Il s'agissait de 10 bêtes à cornes, 41 arpents de terre, et un fusil. 

Page Principal  Haut de Page